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mercredi 6 février 2013
Un tour du monde vous en rêvez ? Fred Colas l'a fait avec sa femme et sa fille avec son projet WLTW (We Like The World).
Comment réussir vous aussi votre tour du monde ? Fred vous dit tout et livre ses 7 conseils aux Vidéos du Succès de PPC & HK.
Pour nous suivre dans les réseaux sociaux, cliquez sur l'une des images ci-dessous :
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mercredi 14 novembre 2012
Comment utiliser les réseaux sociaux et notamment Facebook pour réussir un tour du monde en 80.000 amis ? Réponse de Frédric Colas (We Like The World) au micro des Vidéos du Succès de PPC & HK.
Voici les textes de Fred Colas :
1. Comprendre que l'ère digitale, c'est l'ère des liens faibles.
Les liens "faibles" sont soit des "simples connaissances" soit des amis d'amis... Sans Facebook, on n'aurait pas de contacts suivis avec eux. Mais, ils sont la grande majorité des contacts sur Facebook. Pour nous, ils représentent 85% de nos connections personnelles sur Facebook et 98% des fans de "We Like The World".
2. Un projet inspirant.
Aucune mobilisation n'est possible sans ça. Dans notre cas, le projet était inspirant car il combinait le rêve (le tour du monde), la bonne action (l'école) et la nouveauté (facebook).
3. Commencer par les liens forts.
Les liens "forts" sont les gens qu'on a rencontrés personnellement et avec qui on restera en contact régulièrement, même sans Facebook. Au début du projet, on s'est tourné vers nos liens forts. Et ils se sont mobilisés pour donner leur temps ou des contacts, ce qui voulait dire que le projet était bien parti. La mobilisation des liens forts est prédictive de la capacité à mobiliser les liens faibles. Le problème est que le nombre de liens forts est limité, plus ou moins à 150 - le fameux nombre de Dunbar. Il est rapidement impossible de trouver toutes les compétences dont on a besoin parmi eux.
4. Savoir demander de l'aide.
A l'ère digitale, aider les autres est plus facile: un clic, un mail. Il faut donc ne pas avoir peur de demander de l'aide. Pour les contacts directs, il suffit d'envoyer des demandes ciblées ou en masse sur les réseaux sociaux. Pour les contacts indirects, c'est très simple pour nos amis de nous aider en nous recommandant à eux. Comme ils sont nombreux et que la connection est facile, il est beaucoup plus probable de tomber sur les liens faibles qui valent de l'or, ceux qui ont les compétences dont vous avez besoin et la volonté de vous aider.
5. Une bonne réputation.
La réputation, c'est ce qui donne confiance aux liens faibles parce qu'ils ne connaissent pas personnellement les porteurs du projet. Ils vont accepter d'aider s'ils sont en confiance. Par exemple, nous avons eu très vite le soutien de Facebook au niveau mondial, ce qui nous a permis de convaincre d'autres partenaires. Avant de nous soutenir officiellement, Facebook en Californie s'est renseigné sur nous auprès de Facebook France qui les a rassurés. Autre exemple: une amie à nous a réussi à convaincre une famille vietnamienne qui ne parlait ni anglais ni français de nous recevoir. Elle les a mis en confiance en engageant sa propre réputation.
6. Une bonne communication.
Le faire-savoir est essentiel. Il faut créer des outils de communication (films, photos, événements...) qui sortent de l'ordinaire et que les gens ont envie de partager sur les réseaux. Notre projet a décollé grâce à notre clip de lancement que nos amis ont partagé massivement. En deux semaines, nous avons eu plus de 10000 vues et 1000 fans. On a ensuite fait en sorte que les personnes influentes, blogueurs et journalistes, le relaient.
7. La force insoupçonnée des liens faibles.
Ils sont capables de créer des opportunités qui dépassent nos attentes et notre imagination. Et pour les saisir, il faut être flexible et se laisser porter par le réseau. Par exemple, Arnaud est un copain de promo revu deux fois en 25 ans. Un soir, je vois sur Facebook un de ses posts sur un concert de musique africaine au Stade de France. Je commente en lui décrivant notre projet lié à l'Afrique. Le lendemain, il me contacte en me disant qu'il organise le concert qu'il est intéressé par un partenariat avec nous ! On a imaginé un clip commun entre les artistes du concert et les blogueurs qui soutenaient We Like The World. C'est que nous nous sommes retrouvés sur les écrans géants du Stade de France devant 30000 personnes et qu'on a récupéré 2500 euros pour l'école. Autre exemple: Frédérique Cariou. Elle habite à San Francisco et nous a proposé via Facebook de nous héberger chez elle. Nous n'avons jamais su si nous avions des amis communs. on a dit banco ! et nous sommes finalement restés 16 nuits chez eux, 16 nuits ! le record ! En plus, Frédérique a même organisé une course des écoles françaises de San Francisco pour récolter des fonds au profit de We Like The World. Elle est allée bien au-delà de nos attentes, au-delà même de notre imagination.
Pour conclure, je dirais que grâce à la mobilisation de l'ensemble de notre réseau, notamment des amis Facebook, nous avons vécu la plus belle année de notre vie !
Oui, même dans la vraie vie, les supposés "amis" facebook et les amis d'amis peuvent vous aider à réaliser vos rêves et à changer le monde.
Voici les textes de Fred Colas :
1. Comprendre que l'ère digitale, c'est l'ère des liens faibles.
Les liens "faibles" sont soit des "simples connaissances" soit des amis d'amis... Sans Facebook, on n'aurait pas de contacts suivis avec eux. Mais, ils sont la grande majorité des contacts sur Facebook. Pour nous, ils représentent 85% de nos connections personnelles sur Facebook et 98% des fans de "We Like The World".
2. Un projet inspirant.
Aucune mobilisation n'est possible sans ça. Dans notre cas, le projet était inspirant car il combinait le rêve (le tour du monde), la bonne action (l'école) et la nouveauté (facebook).
3. Commencer par les liens forts.
Les liens "forts" sont les gens qu'on a rencontrés personnellement et avec qui on restera en contact régulièrement, même sans Facebook. Au début du projet, on s'est tourné vers nos liens forts. Et ils se sont mobilisés pour donner leur temps ou des contacts, ce qui voulait dire que le projet était bien parti. La mobilisation des liens forts est prédictive de la capacité à mobiliser les liens faibles. Le problème est que le nombre de liens forts est limité, plus ou moins à 150 - le fameux nombre de Dunbar. Il est rapidement impossible de trouver toutes les compétences dont on a besoin parmi eux.
4. Savoir demander de l'aide.
A l'ère digitale, aider les autres est plus facile: un clic, un mail. Il faut donc ne pas avoir peur de demander de l'aide. Pour les contacts directs, il suffit d'envoyer des demandes ciblées ou en masse sur les réseaux sociaux. Pour les contacts indirects, c'est très simple pour nos amis de nous aider en nous recommandant à eux. Comme ils sont nombreux et que la connection est facile, il est beaucoup plus probable de tomber sur les liens faibles qui valent de l'or, ceux qui ont les compétences dont vous avez besoin et la volonté de vous aider.
5. Une bonne réputation.
La réputation, c'est ce qui donne confiance aux liens faibles parce qu'ils ne connaissent pas personnellement les porteurs du projet. Ils vont accepter d'aider s'ils sont en confiance. Par exemple, nous avons eu très vite le soutien de Facebook au niveau mondial, ce qui nous a permis de convaincre d'autres partenaires. Avant de nous soutenir officiellement, Facebook en Californie s'est renseigné sur nous auprès de Facebook France qui les a rassurés. Autre exemple: une amie à nous a réussi à convaincre une famille vietnamienne qui ne parlait ni anglais ni français de nous recevoir. Elle les a mis en confiance en engageant sa propre réputation.
6. Une bonne communication.
Le faire-savoir est essentiel. Il faut créer des outils de communication (films, photos, événements...) qui sortent de l'ordinaire et que les gens ont envie de partager sur les réseaux. Notre projet a décollé grâce à notre clip de lancement que nos amis ont partagé massivement. En deux semaines, nous avons eu plus de 10000 vues et 1000 fans. On a ensuite fait en sorte que les personnes influentes, blogueurs et journalistes, le relaient.
7. La force insoupçonnée des liens faibles.
Ils sont capables de créer des opportunités qui dépassent nos attentes et notre imagination. Et pour les saisir, il faut être flexible et se laisser porter par le réseau. Par exemple, Arnaud est un copain de promo revu deux fois en 25 ans. Un soir, je vois sur Facebook un de ses posts sur un concert de musique africaine au Stade de France. Je commente en lui décrivant notre projet lié à l'Afrique. Le lendemain, il me contacte en me disant qu'il organise le concert qu'il est intéressé par un partenariat avec nous ! On a imaginé un clip commun entre les artistes du concert et les blogueurs qui soutenaient We Like The World. C'est que nous nous sommes retrouvés sur les écrans géants du Stade de France devant 30000 personnes et qu'on a récupéré 2500 euros pour l'école. Autre exemple: Frédérique Cariou. Elle habite à San Francisco et nous a proposé via Facebook de nous héberger chez elle. Nous n'avons jamais su si nous avions des amis communs. on a dit banco ! et nous sommes finalement restés 16 nuits chez eux, 16 nuits ! le record ! En plus, Frédérique a même organisé une course des écoles françaises de San Francisco pour récolter des fonds au profit de We Like The World. Elle est allée bien au-delà de nos attentes, au-delà même de notre imagination.
Pour conclure, je dirais que grâce à la mobilisation de l'ensemble de notre réseau, notamment des amis Facebook, nous avons vécu la plus belle année de notre vie !
Oui, même dans la vraie vie, les supposés "amis" facebook et les amis d'amis peuvent vous aider à réaliser vos rêves et à changer le monde.
lundi 27 juin 2011
La famille Colas va bientôt quitter le sol français pour se lancer dans sa grande aventure Around The World avec pour but de financer une école au Burkina Fasso.
Si vous souhaitez leur laisser un message d'au-revoir en mode réseau social, utilisez l'appli facebook connect disponible ici ... et vous pouvez aussi en profiter pour faire un don en ligne pour l'école.
We Like The World !
lundi 13 juin 2011
Mode Promo ON pour la nouvelle chanson de mon ami Kaysha réalisée spécialement pour le projet We Like The World. dont je vous avais parlé avec le BarCamp historique.
Soutenez le projet WeLikeTheWorld en devenant fan sur facebook : http://facebook.com/weliketheworld 1 Like = 1$ pour la construction d'une école au Burkina Fasso.
jeudi 26 mai 2011
Si vous avez suivi l'histoire WeLikeTheWorld, voici un nouvel épisode qui prouve qu'un beau projet génère des good vibes !
La construction d’une école au Burkina Faso avec la « Voix de l’Enfant » pour aider des centaines d’enfants, notamment des filles, du Burkina Faso en leur permettant d'accéder à une bonne instruction.
Que se passe-t'il aujourd'hui ?
Pour la première fois, des chanteurs et des blogueurs s’unissent dans un clip qui symbolise le soutien du Stade de France et de son concert « Nuit Africaine » (le 11 juin 2011) au projet « We Like The World ».
Le but ?
La construction d’une école au Burkina Faso avec la « Voix de l’Enfant » pour aider des centaines d’enfants, notamment des filles, du Burkina Faso en leur permettant d'accéder à une bonne instruction.
Que se passe-t'il aujourd'hui ?
Pour la première fois, des chanteurs et des blogueurs s’unissent dans un clip qui symbolise le soutien du Stade de France et de son concert « Nuit Africaine » (le 11 juin 2011) au projet « We Like The World ».
Qui chante ?
Les plus grandes stars de la musique africaine ont participé ensemble et gratuitement à l'enregistrement de ce clip : Mory Kanté, Manu Dibango, Patience Dabany, Werrason, Passi, Meiway, Jessy Matador, Sekouba Bambino, Baaba Maal, Negro Pou La Vi, Coumba Gawlo, Zacharie Babababswe.
Le bon plan ?
Amis lecteurs, bénéficiez de l’offre ‘WLTW’ pour obtenir 4€ de réduction par billet pour le concert de La Nuit Africaine le 11 juin au Stade de France. Réservation par ici http://accueil.stadefrance.
Et parce qu'une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, l'utilisation de ce code déclenche de la part du Stade de France le versement d'1€ supplémentaire donné à la Voix de l’Enfant/WLTW.
Guess what ? Je Like !
PS : Et qui sont les blogueurs présents au générique ? Kaysha, Cyril Paglino, Fanny Bouton, Thomas Clement, PPC, Hedia, Menageresdemoinsde50ans, Sabine, leblogdelablonde, BuzzParadise, Gregory Pouy, Ohmybloogness.com, Legrigriinternational.com, e_influenceur, Les Pensées de Manu, Julie Navarro, Mashable, MinuteBuzz, Charles Liebert, Eric Maillard, MyBigooBlog, Floriane Pelletier, Romain Simonin ...
lundi 9 mai 2011
Vous avez entendu parler de la famille Colas et du voyage d'Estelle, Héloïse et Frédéric Colas ? Oui, ce chouette projet qui consiste à faire le tour du monde en 80.000 amis avec Facebook et dont l'objectif est la construction d'une école au Burkina Faso ?
Vous vous rappelez de mon billet sur le premier BarCamp WeLikeTheWorld ? L'idée ? Et si, sur la base du projet AroundTheWorld de la Famille Colas, nous lancions avec WeLikeTheWorld, une marque non profit, une networked non profit brand en mode OpenSource ?
As a follow-up, voici la vidéo historique récapitulative de ce BarCamp historique qui s'est tenu le 30 avril 2011 à Paris.
Les membres du BarCamp spécial WeLikeTheWorld ? Fred et Estelle Colas, Emmanuel Gadenne, Charles Liebert, Antonia Savey, Jean Antoine Martos, Fadhila Brahimi, Mireille Bertrand, Jeremy Sztykman, Henri Kaufman, Nicolas David et votre serviteur PPC
Pour rejoindre les fans de WeLikeTheWorld sur facebook : http://www.facebook.com/weliketheworld
mardi 19 avril 2011
Do you like the World ? C'est à cette question et à bien d'autres que sera consacré ce BarCamp Spécial "We Like The World".
Qu'est ce que WeLikeTheWorld ?
Tout a commencé par un projet un peu fou imaginé par mon ami Fred Colas et son épouse Estelle. L'idée ? Réaliser le 'Tour du Monde en 80.000 amis' : le premier tour du monde co-créé et 'propulsé' par un social graph. Estelle, Héloïse et Frédéric Colas entreprendront ce voyage de Juillet 2011 à Juin 2012 avec pour objectif de financer la construction d'une école au Burkina Faso grâce à l'aide de 80.000 amis facebook et leurs amis vivant dans le monde.
Chemin faisant avec ce projet, une idée encore plus folle a émané de nos échanges avec Fred. Et si nous lancions avec WeLikeTheWorld, une marque non profit, une networked non profit brand en mode OpenSource ? Une marque qui pourrait héberger et aider tous les projets en mode réseaux sociaux permettant aux gens des pays les plus riches d'aider ceux qui sont dans les situations les plus pauvres à l'autre bout du monde. Belle idée pour un BarCamp, non ?
Pourquoi un BarCamp WeLikeTheWorld ?
- Parce que WeLikeTheWorld est un projet participatif où la co-production est essentielle,
- Parce que le projet en est à son tout début et il ne pourra se bonifier qu'avec l'aide et les idées du plus grand nombre,
- Parce que l'atmosphère des BarCamp est avant tout un moment convivial
Qu'est ce qu'un BarCamp ?
Un Bar Camp est une "non-conférence", ouverte et gratuite, qui prend la forme d'ateliers-évènements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp.
Pour participer au 1er BarCamp WeLikeTheWorld qui aura lieu a Paris le 30 avril, inscrivez-vous ici.
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