1- Pas d’attaque « ad hominem »
On critique un projet, une décision, un achat mais pas la personne. Attention à la lutte des égos dans laquelle vous critiquez pour vous montrer plus fort ou plus intelligent que l’autre.
2- Pesez le contexte
Avant de vous engouffrer dans la critique, analysez soigneusement les contraintes, les impératifs plus ou moins visibles, du projet ou de la décision, les décisions qu’on ne peut remettre en cause.
3- Réfléchissez à votre objectif
Le but n’est pas de se faire valoir mais de faire avancer le projet. Et d’apporter des idées ou des remarques CONSTRUCTIVES.
4- Justifiez vos critiques
Évitez absolument les critiques du genre « j’aime / j’aime pas ». Toute critique de nature émotionnelle concerne les goûts d’un individu et ne sont pas forcément bonnes pour tout le monde.
5- Il faut savoir calme conserver
Évitez l’agressivité (dans le ton, dans vos attitudes) lorsque vous critiquez. Et surtout, avant de répondre à un argument qui contre votre critique, tournez votre langue 7 fois dans votre bouche… Parlez C A L M E M E N T. N’élevez pas le ton. Acceptez le fait de vous être trompé, et excusez vous si c’est le cas.
6- La critique, ça s’apprend !
En particulier la critique positive. Commencez à critiquer des cas simples, vous progresserez de cette façon.
7- Sachez vous arrêter.
N’oubliez pas que les conseilleurs ne sont pas les payeurs. C’est celui qui fait, et qui prend donc le risque de faire, qui décide au final. Et une fois la décision prise, A R R E T E Z de critiquer. C’est fini.
